lundi 7 septembre 2015

Le fort et le faible.

Est-ce trop peu pour vous de paître dans le bon pâturage, pour que vous fouliez de vos pieds le reste de votre pâturage? de boire une eau limpide, pour que vous troubliez le reste avec vos pieds? Et mes brebis doivent paître ce que vos pieds ont foulé, et boire ce que vos pieds ont troublé! (Ez 34. 18-19 )

Une belle illustration de la nature humaine, Dieu reproche aux béliers et aux boucs de leur manière de paître et de boire, ils pensent à eux seulement et les brebis plus faibles récoltent les restes; ils profitent du bon pâturage et foulent aux pieds le reste en ne pensant pas aux autres et boivent les eaux abondantes et limpides et brouillent le reste avec leurs pieds. Les plus faibles n'ont que les restes. Ce n'est pas ainsi que Dieu que se soit.

“Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, qui pour vous s’est fait pauvre, de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis.” (2Co 8:9)