Job entend beaucoup de chose, mais c’est vers l’Éternel son Dieu qu’il se tourne. Malgré ce qu’il vit, son cœur reste à l’Éternel, donc il espère en Dieu. C’est écrit dans Job 19.25 : Mais je sais que mon rédempteur est vivant, et qu’il se lèvera le dernier sur la terre; Quand ma peau sera détruite, il se lèvera; Après que ma peau aura été détruite, moi-même je contemplerai Dieu. Je le verrai, et il me sera favorable; Mes yeux le verront, et non ceux d’un autre; Mon âme languit d’attente au-dedans de moi.
C’est cette espérance qui donne la force à Job de continuer et de s’en remettre à son Dieu, l’espérance que ses yeux contemplent son Dieu un jour. Je vois que cet homme a la même espérance que nous et ça m’a fait penser au cantique 418 : Contempler mon Dieu sur son trône, vivre avec Jésus dans le ciel, c’est la le bonheur Éternel. Seigneur, permettez que jamais cette espérance ne quitte nos pensées et qu’elle demeure dans nos cœurs. Hébreux 6 nous dit : que notre seul refuge a été de saisir l’espérance qui nous était proposée et cette espérance, nous la possédons conne une ancre de l’âme, sûre et solide; et elle pénètre au-delà du voile, là ou Jésus est entré pour nous comme précurseur. Gloire à Dieu.
